Une protéine pas très relax impliquée dans les douleurs chroniques

Visualisation des fibres nerveuses contenant de la relaxine-3 après transparisation du cerveau entier d’une souris.
© Thibault Dhellemmes/Jérémie Teillon/Marc Landry/Bordeaux Imaging Center

Naturellement sécrétée par les neurones, la relaxine-3 influe sur des fonctions liées à la douleur chronique et aux pathologies qui l’accompagnent souvent. La molécule est ainsi au centre de plusieurs projets de recherche.

Des maux de dos aux migraines, environ cent millions de patients souffrent de douleurs chroniques dans le monde, selon l’Institut Pasteur. Ces pathologies restent pourtant mal soignées, tout comme leurs comorbidités, notamment psychiatriques, telles que l’anxiété, la dépression ou le trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Une situation que Marc Landry, professeur à l’université de Bordeaux et chercheur à l’Institut des maladies neurodégénérativesInstitut des neurosciences cellulaires et intégratives et de l’institut Florey (Australie) ont ainsi rejoint Marc Landry sur l’étude de ce neuropeptide.

Date de publication : 14/02/2025
Publié dans   Quoi de neuf ?